Le froid qui s'installe rend plus sévères les conditions de survie des familles installées dans la boue des zones industrielles de nos villes.
Ce matin, je vais chercher quelques enfants privés du droit d'aller à l'école dans cette commune.
Je ne reconnais pas tout de suite les trois caravanes-cabanes de la famille C.
En quelques jours, Cristina et sa belle-soeur ont transformé le "vide" en salon.
Mon admiration a trop vite fait place à l’assommante certitude
d'une expulsion rapide insoutenable.
Hélène
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